Reprises, acquisitions, fusions, MBOs
29.08.2025 20:14:10
Le cas échéant, cela signifierait que la famille doive s'endetter. Or, sous son père déjà on haïssait les dettes comme la peste, a souligné Nick Hayek. Un retrait de la Bourse n'aurait cependant que des avantages pour le groupe, selon lui, car "aucun boursicoteur, aucun analyste financier et aucun journaliste financier ne s'intéresserait plus à nous". Swatch n'aurait plus à satisfaire toute cette communication et bureaucratie. "Vous savez de que nous pourrions économiser".
A propos des droits de douane sur les exportations vers les Etats-Unis, M. Hayek reste optimiste, comme il l'a montré mercredi dernier lors d'une conférence téléphonique surprise avec des analystes. "Les Etats-Unis continue de boomer", avec des taux de croissance de 20-30% malgré des augmentations de prix d'environ 5% réalisées en avril à cause des droits de douane et du franc fort.
Le patron de Swatch a encore défendu le principe de vouloir, dans tous les segments, produire soi-même en Suisse avec près de 150 fabriques. Le groupe est ainsi bien plus souple que la concurrence.
Les frais sont certes plus élevés, a admis le patron, mais parce que l'on conserve les collaborateurs, on est beaucoup plus rapidement à nouveau sur le marché lorsque la demande reprend. De plus, tout le savoir-faire de la production implique aussi plus d'innovations propres.
Nick Hayek exclut toujours une privatisation de Swatch Group
Zurich (awp) - Le patron de Swatch Group Nick Hayek persiste et signe: il retirerait volontiers son groupe de la Bourse - la famille Hayek détient près de la moitié des actions - mais il ne le fera pas. Une privatisation (Going Private) n'est pas possible, a-t-il répété dans une interview à la Frankfurter Allgemeine Sonntagszeitung.Le cas échéant, cela signifierait que la famille doive s'endetter. Or, sous son père déjà on haïssait les dettes comme la peste, a souligné Nick Hayek. Un retrait de la Bourse n'aurait cependant que des avantages pour le groupe, selon lui, car "aucun boursicoteur, aucun analyste financier et aucun journaliste financier ne s'intéresserait plus à nous". Swatch n'aurait plus à satisfaire toute cette communication et bureaucratie. "Vous savez de que nous pourrions économiser".
A propos des droits de douane sur les exportations vers les Etats-Unis, M. Hayek reste optimiste, comme il l'a montré mercredi dernier lors d'une conférence téléphonique surprise avec des analystes. "Les Etats-Unis continue de boomer", avec des taux de croissance de 20-30% malgré des augmentations de prix d'environ 5% réalisées en avril à cause des droits de douane et du franc fort.
Le patron de Swatch a encore défendu le principe de vouloir, dans tous les segments, produire soi-même en Suisse avec près de 150 fabriques. Le groupe est ainsi bien plus souple que la concurrence.
Les frais sont certes plus élevés, a admis le patron, mais parce que l'on conserve les collaborateurs, on est beaucoup plus rapidement à nouveau sur le marché lorsque la demande reprend. De plus, tout le savoir-faire de la production implique aussi plus d'innovations propres.
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Betroffene Instrumente
Name | Kurs | Differenz Differenz % |
52 Wochenhoch | 52 Wochentief | Volumen |
---|---|---|---|---|---|
The Swatch Grp I | 144.10 |
-0.45
-0.31%
|
159.95 | 127.05 | 89'555.00 |
The Swatch Grp N | 29.36 |
-0.16
-0.54%
|
32.78 | 26.16 | 40'267.00 |